Ô Christ, Toi Qui es la gloire et la puissance des saints, Toi Qui es la Vie et l'Idéal, le Chemin, la Lumière et l'Auteur de tous, accepte miséricordieusement les prières et le chant de ceux qui Te supplient,
Toi Qui, un jour merveilleusement attira à Toi Benoît, le mis à part du monde, pour qu'il puisse apprendre à mettre de côté l'iniquité du monde et à Te suivre,
Car tu fait que le pieux esprit de l'enfant soit fort dans la foi, par Ta grâce. Renforcée par un esprit fidèle, il fit des miracles par sa prière.
Puis prenant pied dans une terre lointaine, il grimpa dans les hauteurs, car brûlant d'un amour pur, il souhaitait tourmenter ses membres juvéniles.
Par la suite, il enseigna aux hommes bénis, à forcer leurs esprits par des règles strictes et à toujours incliner leurs nuques sous le joug du Seigneur des Cieux,
Un d'eux, le fidèle serviteur Maure, tira l'enfant Placide de l'eau profonde, l'arrachant aux vagues, il le tira de l'eau par son obéissance à son père,
Ainsi, lui qui, lui-même excella régulièrement dans la voie, enseigne au moine à apprendre de ses actes, de sorte que nous donnons nos esprits aux Commandements de Dieu et obéissons librement.
Dans une vie de pauvreté, remplie de piété, donnant l'exemple par sa façon de vivre avec sa foi ardente, il enseigna les cœurs de ses disciples qui doutaient à être toujours fidèles.
Prouvant cela par la force de la foi, il se joignit avec ses frères saints dans un flot de prière et soudain un récipient se révéla empli d'huile à ras bord.
Dans sa piété insistant sur la coutume droite et confiant en Christ qu'il prévaudrait dans la foi, par la prière il ramena l'âme d'un homme quand son corps était mort.
Puis, une fois alors qu'il se faisait tard, sa sœur sainte, un proche disciple, préférant le garder avec elle, lui demanda de rester et le tint, le liant plus étroitement à elle, par une forte pluie,
Après cela, dans un lieu désert, le saint vit l'âme de cette sœur qui cherchait les secrets célestes avec la rapidité de ceux qui ont des ailes.
Se réjouissant de cela, il appela les frères et leur commanda d'amener le corps pour l'inhumation dans la tombe qui avait été longtemps prête pour lui, car il n'allait pas tarder à la suivre.
Par la suite, ayant prescience de sa fin prochaine, il se mit promptement à la préparation de la tombe. Ayant reçu la grâce, il rendit son âme, qui devait trouver sa place dans le ciel.
Son parcours clair et brillant au Ciel, fut attesté par un ange tandis que Benoît, semblait résonner fort aux oreilles des frères.
Par ses [prières], ô Christ, nous te prions de retenir la colère, de nous accorder Ta faveur, et miséricordieux envers tous, de nous accorder Ta grâce et Ton pardon.
Nous Te prions Dieu, Grand Souverain, que notre foi puisse résister au péché et servir dans l'étude de la vertu avec un cœur pur.
Chantons tous la gloire du Père et la Tienne, ô Christ, Fils du Très-Haut, Qui règnes avec l'Esprit Saint et Créateur. Amen.
Version française Claude Lopez-Ginisty
d'après
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